En Mode Festi est un festival vichyssois que j’avais eu plaisir de couvrir pour Bastringue Corp en compagnie de Sandrine et Guillaume. Celui-ci s’est tenu sur trois jours, les 11, 12 et 13 juillet.
En Mode Festi est un festival vichyssois que j’avais eu plaisir de couvrir pour Bastringue Corp en compagnie de Sandrine et Guillaume. Celui-ci s’est tenu sur trois jours, les 11, 12 et 13 juillet.
Récemment, j’avais pondu, pour Bastringue Corp, un article sur une artiste drômoise – ainsi que sur son dernier clip. Il s’agit de Camille Peraire, une chanteuse pop multifacettes. le titre évoqué dans l’article est : T’as eu vent de nous deux.
Celui-ci ayant plus, tant à Camille qu’à certains de ses lecteurs, dont Martin du journal Le Crestois, il m’a demandé s’il leur était possible de le republier dans l’une de leurs éditions, ce que j’ai accepté. C’est donc dans la parution du vendredi 12 décembre 2026 que celui-ci a été diffusé.
En Mode Festi est un festival vichyssois que j’avais eu plaisir de couvrir pour Bastringue Corp en compagnie de Sandrine et Guillaume. Celui-ci s’est tenu sur trois jours, les 11, 12 et 13 juillet.
Ma quatrième chronique musicale « Ils sont passés par là » pour mes amis du journal Le Crestois est parue ce vendredi 5 décembre 2025 dans leurs colonnes. Celle-ci porte sur une artiste d’origine drômoise et, plus particulièrement, de la vallée de la Drôme, non loin de Crest. Qui mieux qu’elle aurait pu s’y prêter ?
Melba est une diva pop que l’on se plaît à écouter. J’avais eu l’honneur et le plaisir de pouvoir discuter avec elle lors d’un des opus de ma série Les Interviews brutes pour Bastringue Corp. Sa musique, à la fois légère et subtile, nous emporte vers de hautes sphères éthérées.
N’hésitez pas à lire ma chronique en ligne, mais aussi et surtout sur papier en vous procurant un exemplaire de cet hebdomadaire méritant ! Et, pourquoi pas ? éviter de manquer les prochaines en vous abonnant ?
« C’est rigolo Comme ce monde Part à vau-l’eau, Devient immonde. » (Moi)
Je vois de ci de là des gens qui, pour cause de désespoir, prônent qu’il faut voter pour le Rassemblement national. Comment dire ? C’est de la folie. Ce serait soigner le mal par le mal. Et si, tout simplement, nous nous souvenions ?…
« Je me souviens Des jours anciens Et je pleure. » (Paul Verlaine)
Quand j’étais gosse, la vie était loin d’être facile. À cette période, nous faisions front. C’était l’époque où le Front national grapillait des voix petit à petit. Autour de moi, les gamins de mon âge, mais aussi les plus grands ainsi que les plus jeunes, à quelques incompréhensions près, nous étions soudés. Et nos aînés, nous les aimions et nous les respections, réciproquement. Tous ces amis avaient leur vie. Certains étaient Français, d’autres non. Mais qu’en avions-nous à faire ? Nous avions diverses origines, diverses religions, divers parcours, divers rêves. Nous étions des enfants, juste des êtres humains. En résumé, nous étions le « front local » qui faisait fi du national.
Nous avons grandi, évolué, suivi différents chemins. Certains sont tombés : maladie, accident, violence, alcool, stupéfiants, qu’importent les raisons. Si nos vies se sont écartées, nos amitiés sont restées et, dans nos cœurs, nous serions toujours liés. Et c’est toujours le cas aujourd’hui. Ceux qui restent vivent pour rendre hommage à ceux qui sont partis. Au fil des annonces de décès, de tragédies, nous sommes toujours ensemble. Certes, le cercle des vivants s’amenuise, mais tous seront présents jusqu’au dernier souffle de l’ultime survivant.
Nous sommes des survivants. Nous avons connu, pour certains, l’horreur. Mais nous avons fait le choix de vivre plutôt que d’attendre.
« Et maintenant, que vais-je faire ? » (Gilbert Bécaud)
Si les vies se terminent, les espoirs perdurent. Et nous les transmettrons autant que faire se peut. Nous sommes, en cette fin d’année 2025, dans une période charnière. Nous voyons les haines s’imposer face à la raison. Le mensonge servir de vérité pendant que celle-ci se retrouve bannie de notre environnement. L’heure est à la résistance, si l’on ne veut pas que l’Humanité se replonge dans ses pires travers. Nous voyons un peu partout des pays sombrer dans le fascisme, dans le nationalisme, dans la folie. Que faire ? Mais la Révolution ! Non, je ne propose pas de ressusciter Lénine. Je suggère simplement que l’on cesse de laisser nos souffrances être utilisées pour nourrir la haine de celles et ceux qui n’ont qu’un seul mot d’ordre : « MOI » !
Unissons-nous, rassemblons-nous, scandons à l’unisson notre désir de vie, notre désir d’amour.
Créons tous ensemble les « Rassemblements locaux » pour lutter contre le national !
Le troisième numéro de ma chronique pour l’hebdomadaire Le Crestois est sorti ! En ce premier vendredi du mois de novembre est paru ce sympathique journal qui est, pourrions-nous dire, à l’origine de ma « carrière médiatique » — une pensée émue pour Claude Bourde.
Ils sont passés par là évoque un rappeur d’origine camerounaise dont j’ai pu faire la connaissance voici longtemps déjà quand il avait été invité pour se produire en concert avec Emmanuel « Pi » Djob. C’est donc en 2019 que j’ai discuté avec 117matricul. La soirée avait été des plus agréables grâce à de belles personnes, dont lui. Nous avions fait un peu connaissance et, peut-être cinq ans plus tard, nous avons repris contact à Valence…
Hop ! Allez donc lire ma chronique en ligne, accessible sans abonnement sur le site du Crestois. Et n’oubliez pas : soutenir les initiatives locales est vital ! Alors si vous voulez apporter votre pierre à l’édifice, contactez-les — de ma part.
Aujourd’hui vient de démarrer la cinquième saison des Interviews brutes sur le site Bastringue Corp. Cette série, démarrée tout à fait par hasard – j’avais remplacé mon ami Franck Barnier-Aubert au pied levé sur ma première -, m’a mené tout droit dans des univers insoupçonnés. J’ai rencontré pas mal d’artistes. J’en ai eu d’autres au téléphone. Mais ce fut toujours de belles découvertes. Je vais tâcher de répertorier, ci-dessous, les quatre premières saisons, les nouveautés et les hors-séries.
Comme vous pouvez le constater, la liste commence à s’allonger considérablement. Il semble même qu’elle va s’allonger encore pas mal. Je vais la mettre à jour au fur et à mesure des diffusions, afin que vous ne manquiez rien. J’espère qu’elles vous plairont car, du trac de la première au plaisir des suivantes, je me suis beaucoup investi, pour mon plaisir et pour le vôtre.
Voici venu le mois d’octobre, accompagné par ses pluies diluviennes et ses soirées frisquettes. C’est pourquoi, afin de nous réchauffer l’esprit et d’apporter un peu de lumière dans cette grisaille, il est conseillé de se ruer sur ma chronique Ils sont passés par là consacrée à une artiste valentinoise ayant passé beaucoup de temps dans la vallée : Anne Sila.
Je vous y parle de cette aura de jazz dont elle est enveloppée, mais aussi de pop.
Les aficionados de belle musique sauront y trouver leur compte. Comment en prendre connaissance ? Tout simplement en vous procurant Le Crestois du vendredi 3 octobre, où tout simplement en vous rendant sur le site de cet hebdomadaire d’actualité locale.
« Demandez, et l’on vous donnera. » (Évangile selon Matthieu 7:7, Bible de Louis Segond)
« Ou pas ! » (Philosophe anonyme du XXIe Siècle)
Aimer, vouloir, pouvoir, savoir, comprendre… La langue française fourmille de verbes avec un fort pouvoir évocateur, mais il en est un qui, pour moi, passe avant tous les autres, car il détermine leur résultat. Ce verbe est tout petit, tout court, tout simple. Il faut quatre lettres seulement pour écrire son infinitif. Ce n’est pas être, ce n’est pas lire, ce n’est pas nier… C’est tout simplement : « OSER » !
En effet, si je reprends la liste évoquée en incipit, on se rend compte que c’est grâce à lui que tout est possible. Regardez pour aimer. Parfois, on se refuse d’aimer parce que l’on a trop souffert, ou on n’ose pas dire à quelqu’un qu’on l’aime. Mais si on ose faire le pas, que risque-t-on sinon d’être éconduit ? Certes, cela fera mal sur l’instant, mais vous vous en remettrez. Si vous n’osez pas révéler vos sentiments, au contraire, vous allez avoir mal longtemps car vous attendrez, vous vous sentirez seul, incompris… Et ce sera bien plus long et beaucoup plus douloureux quand vous apprendrez que ce n’est pas réciproque. Et puis… Si c’était réciproque ?… Imaginez, juste quelques secondes.
C’est pareil pour les autres : si vous voulez quelque chose et n’osez pas le demander ? Si vous pouvez améliorer quelque chose mais n’osez pas le faire ? Si vous voulez savoir quelque chose mais n’osez pas l’apprendre ? Si vous voulez comprendre quelque chose mais n’osez pas vous renseigner ?…
J’ai découvert la supériorité du verbe oser sur tous les autres grâce à mon ancien travail, la photographie. Un jour, j’ai voulu faire de la prise de vue lors d’un concert. Je me suis renseigné sur les procédures et j’ai sauté le pas : j’ai demandé ma première accréditation. Et mon « parrain » m’a dit « oui » ! Puis j’en ai demandé une deuxième, une troisième. Et parfois on refusait, parfois on m’ignorait. J’ai voulu par la suite faire des scènes plus importantes et, auprès de nombreux producteurs, un indépendant est classé « persona non grata » ; il n’a d’autre choix que trouver un média. J’ai donc osé demander à certains. Pareil : refus, accords, silences. Que faire, sinon la Révolution ?… J’ai réfléchi, regardé les possibilités pour ouvrir des portes verrouillées. Puis un jour, j’ai osé créer mon premier média, j’ai osé en parler, j’ai osé demandé en son nom. Puis mes envies se sont amplifiées. Quand on aime… C’est avec ce principe d’évolution qu’avec Olivier nous avons osé créer Bastringue Corp. Nous avons osé le développer, nous investir, le faire connaître… Nous avons osé contacter les artistes, les prod, les attachés de presse, et nos amis, ainsi que de « parfaits inconnus » nous ont rejoints. Nous avons osé, et nous en sommes contents. Nous continuerons à oser pour progresser encore et encore. Nous oserons atteindre l’infini – et au-delà.
Et vous, qu’aimeriez vous faire et n’osez pas encore ?… Vous le savez ? Alors : « OSEZ !! »
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